Cabaliros par la fenêtre du Gave
Rendez-vous au bord du Gave en ce jour de grand froid où les routes sont bien gelées, poudrées, glissantes. Les chaînes seront même utiles pour accéder au virage du départ vers le vallon d'Aoube. Nous ne sommes pas seules, une quinzaine de voitures déjà présentes! Diable, la (petite) poudre attire le monde.
Fango à la trace
Beaucoup vont vers Aoube, nous longeons les couloirs de la Bonida pour oser aborder la pente ouest sous l'Oncet. Nous espérons que le vent n'aura pas trop croûté la neige.
C'est quoi, c'est qui, là-bas? On y va? NON!!
Avec tout ce monde autour, Fango a du mal à rester près de nous. Très mal élevé ce chien!
Traversée délicate
La montée est une alternance d'accumulations de neige poudreuse et de plaques de glace. Faut pas glisser...
Col d'Aoube et plus encore...
Nous n'irons pas jusqu'au col trop pelé et gelé mais le panorama qui s'offre à nous est amplement suffisant à notre bonheur. Nous prenons un petit thé bien à l'abri d'un gros rocher et c'est la descente. Il suffit juste de bien viser pour aller chercher les accus de poudre et c'est de nouveau un réel bonheur de faire sa trace.
Y'a bon
Il reste encore de belles croupes et combes vierges pour y laisser notre signature.
Soleil (trans)perçé
L'arrivée à la voiture se fait skis aux pieds mais quelques pierres ont caressé nos lattes. Les herbes affleurantes de-ci de-là montrent un manteau bien piégeux, le sol n'est pas loin... Vivement la prochaine dépression.
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